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Approche scientifique de la théorie de l’énergie

Approche scientifique de la théorie de l’énergie

 

« Au plus profond de nous, en effet, sous le rempart protecteur de notre épiderme, on ne chôme pas : on écoule, on pompe, on aspire, on écrase, on désagrège, on répare, on réorganise. Toute une équipe d’organes sophistiqués s’active joyeusement, tant et si bien qu’en une heure, un adulte consomme à peu près autant d’énergie qu’une ampoule de 100 Watts. »                  Le charme discret de l’intestin, de Giulia Enders

Étymologiquement, le mot « énergie » vient du grec ENERGIA qui signifie « force, puissance d’action ». On n’observe jamais l’énergie en elle-même, mais sa manière de se manifester sous différentes formes :

  • l’énergie thermique, génère de la chaleur ;
  • l’énergie électrique ou électricité, fait circuler les particules (électrons) dans les fils électriques ;
  • l’énergie mécanique, permet de déplacer des objets ;
  • l’énergie chimique, lie les atomes dans les molécules ;
  • l’énergie de rayonnement ou énergie lumineuse, génère de la lumière ;
  • l’énergie musculaire fait bouger les muscles.

Il est plus difficile d’observer la présence et la circulation d’énergie dans le corps, quoique… Les avancées scientifiques s’accélèrent et permettent de la rendre plus localisable et appréciable par nos sens ordinaires. Avec notre civilisation matérialiste, nous avons appauvri nos sens subtils et il est capital de remettre en lumière, par des méthodes modernes, ce que les anciens connaissaient depuis la nuit des temps.

La science est devenue le langage contemporain du mysticisme.[…] Le public se divise dès l’instant où sont évoquées les religions, les traditions anciennes, les cultures populaires voire les idéologies du Nouvel Âge. Mais la terminologie scientifique a une valeur universelle et crée alors une communauté.
Quand certains principes de physique quantique (lien entre l’esprit et la matière, phénomènes ondulatoire et corpusculaire en même temps) et de l’électromagnétisme s’associent aux dernières avancées des neurosciences, à celles de la neuroendocrinologie (mécanisme de régulation du système hormonal par le cerveau), ainsi qu’à un peu de psycho-neuro-immunologie (comment le cerveau, le système nerveux et le système immunitaire s’influencent mutuellement – la connexion corps-esprit) et que finalement on ajoute à l’équation les dernières découvertes en épigénétique (comment l’environnement affecte l’expression des gènes), on démystifie le mystique. En agissant ainsi, on découvre le mystère du soi et la vrai nature de la réalité.
Dr Joe Dispenza

     Les apports scientifiques au fil des âges

Tout commence par la découverte de la boussole en Chine, dont la première référence apparaît dans un manuscrit écrit en 1040. Cet objet tient alors de l’objet magique car les champs électromagnétiques sont, au XIe siècle, encore inconnus. Elle devient rapidement l’outil nécessaire aux remarquables exploits des grands navigateurs. Les lignes de forces magnétiques entourant le manteau terrestre sont détectées.

Les travaux scientifiques démontrent petit à petit, à travers les âges, la présence du champ magnétique terrestre puis ceux des corps célestes tels les étoiles et les planètes jusqu’à ceux de petits objets tels que les cristaux et roches.

En 1890, Willem Einthoven, physicien, entreprit de mesurer le champ électromagnétique du cœur humain. Il développa le galvanomètre, remporta le prix Nobel en 1924 et inspira la recherche sur le champ cérébral découvert en 1926.

Harold Saxton Burr, chercheur visionnaire, travailla sur les champs électromagnétiques des nerfs (1949). Il reconnut que ces champs n’étaient pas seulement produits par les organismes vivants mais qu’ils créaient la matière, fournissant les lignes de force autour desquelles la matière pouvait s’organiser en atomes, molécules et cellules.

Dans une étude publiée en 1947, Burr focalisa son attention sur la maladie humaine pour déterminer si ses observations pouvaient avoir une valeur thérapeutique. Lui et ses collègues examinèrent les femmes atteintes d’un cancer de l’utérus. Ils constatèrent que les utérus de ces femmes avaient une charge électromagnétique différente de celle des femmes avec un utérus en bonne santé. Burr examina ensuite un groupe de femme en bonne santé sans diagnostic de cancer de l’utérus. Les femmes qui avaient la signature électromagnétique du cancer de l’utérus – même apparemment en bonne santé – étaient celles qui développèrent un cancer plus tard. La maladie apparaissait dans le champ énergétique avant d’être visible dans la matière des cellules. Le travail de Burr démontra que les organes tels que le cœur, l’utérus et les organismes vivants ne créent pas les champs d’énergie. Ce sont les champs d’énergie qui créent les modèles autour desquels la matière se condense. En modifiant le champ, on modifie la matière.

Peu importe l’échelle à laquelle nous nous trouvons
– que ce soit au niveau des planètes, des galaxies ou encore de l’atome, nous sommes en présence de champs. Chaque cellule de notre corps a son propre champ électromagnétique et les molécules qui fabriquent les cellules ont aussi des champs. L’électromagnétisme est au cœur des processus biologiques. Chaque partie de la chaîne de molécules qui construit une protéine a sa propre charge positive ou négative.

Bien que cette compréhension soit relativement récente dans la science moderne, elle n’est pas un concept entièrement nouveau. Selon un ancien dicton de la médecine chinoise « l’Esprit contrôle le Qi, et le Sang suit le Qi ». Par Qi, les anciens sages faisaient référence à l’énergie vitale, et par le Sang, ils désignaient la matière du corps.

L’énergie dirige, façonne la matière.
Jusqu’à maintenant, la science considérait les champs d’énergie comme des épiphénomènes de la matière, mais toutes les preuves suggèrent aujourd’hui que c’est la matière qui est épiphénomène de l’énergie. Si nous changeons nos champs d’énergie, les cellules de notre corps de matière répondent en conséquence.

Les champs magnétiques sont désormais observables autour d’un nombre croissant de plantes et d’animaux. Une étude de 2013 réalisée par Clarke, Whitney, Sutton et Robert, décrit comment les abeilles sont capables de détecter les champs électromagnétiques autour des fleurs et utilisent cette information pour déterminer quelles fleurs ont le plus de nectar. Elle décrit également comment les bourdons utilisent cette capacité à percevoir les champs afin de déterminer si les fleurs ont été pollinisées par d’autres bourdons.
Les biologistes décrivent aujourd’hui cette capacité de détection comme le sixième sens nouvellement découvert chez une multitude d’animaux (des insectes aux dauphins).

Dans une interview de 2015, le Professeur Rocard, physicien de renom (ancien directeur du laboratoire de physique de l’École Normale Supérieure, ancien responsable du comité de l’énergie atomique et du programme de recherche sur la bombe atomique) raconte : « Peu de scientifiques savent que les cellules de l’être humain renferment des cristaux de magnétite. Aux États-Unis, deux biologistes américains (Dr Gould et Dr Kirschvink) ont recherché la présence de cette magnétite dans le cerveau. Et l’on sait que le sang comporte des globules rouges portant beaucoup d’hémoglobine, que tout le système cellulaire et l’ADN cristallisent en silicium et en ferromagnétite. Il a été parfaitement démontré que l’homme en possède des petits dépôts dans un certain nombre d’endroits du corps, notamment dans les arcades sourcilières, dans la nuque, dans les coudes, dans le bas du dos, dans les genoux, dans les talons, dans les gros orteils. Nous n’en avons pas tous, hélas, en égale quantité. Chacun d’entre-nous a de la ferromagnétite et du silicium dans le corps.

Le silicium cellulaire agit comme un poste récepteur des ondes électro-magnétiques émises par la ferromagnétite cellulaire qu’il transforme, adapte et transmet aux cellules sous forme d’énergie et d’information, ce qui est la même chose.

L’être humain est un être électro-magnétique, nul doute que le fait de travailler un corps électro-magnétique ait un effet placebo… électromagnétique 😉

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